C'est ainsi Georges Lucas par Yoda interposé qui aurait inventé l'art de la rime, Saint Molière qui la maîtrisa si bien, priez pour nous ! -Je plaisante...-
Mes remerciements à vous tous, d'autant plus que cela permet de soulever les lièvres qui gambadent dans le libre champ de l'esprit critique -là, vous voyez à quoi rime la tournure et les subtilités de la langue française : libre champ, champ libre de... inversion de sens, bon, passons-.
Diantre, devrais-je derechef requérir audience auprès des grands Maîtres de Solms pour m'avoir cédé des boitiers défectueux quitte à me rendre ridicule ? Car ici rien n'est modifié et les prises vous sont comme d'usage délivrées sans post-traitement, juste mises à l'échelle et compressées -désolé- par « le » Gimp, notez que vous êtes libres d'utiliser d'autres produits professionnels plus... chers, mais à moins que vous n'ayez à traiter les images issues d'objets curieux en orbite que je voulu agrandies et définies à l'infini -quoique le Lanczos de M. Cornelius implémenté puisse suffire à l'emploi-, bon, il suffit de cela, celui-là suffira.
Sérieusement, un écran en tant que dernier élément de la chaîne de corruption de l'image avant nos quinquets ne devrait pas être considéré comme élément de référence, mieux vaudra nous concentrer par exemple sur la répartition des valeurs d'intensités issues de notre « positif » brut, telles qu'inscrites dans la mémoire pour la postérité.
Ce contrôle, vous pouvez tous le faire, le programme de traitement d'image dans lequel vous introduirez cette image brute de fonderie ne traite que de nombres, lui en grand manipulateur de ceux-ci ne mentira toutefois pas sur ce point.
Une simple consultation de l'histogramme idoine confirmera déjà un problème dans la cas de la version corrigée et si aimablement proposée de l'image témoin puisque les « coupes » sont trop franches de chaque côté pour être sans conséquence, avec de fait une perte importante de différentiation des niveaux d'intensité sur les 2 extrémités.
Certes un petit bain de soleil n'est-il pas néfaste et même bénéfique me dire-vous, mais surtout pour faire le plein de vitamine D, puisque les vieux manuels recommandent justement d'éviter la prise « soleil tapant » du fait de ce nous venons d'évoquer façon c.q.f.d.
Cette même consultation gratuite effectuée sur l'image originelle, venant contrarier l'avis subjectif exprimé, confirme sur ce point l'adéquation des ajustements voulus par ces gentils Messieurs de Smith & Wesson, pardon Solms & Wetzlar sur leurs appareils établie sur cette image riche en délicates nuances et sur laquelle il n'y a aucune surface parfaitement réfléchissante donc aucun blanc saturé ; ce cliché est donc plausible et apporte un maximum de détail.
Ceci impliquera bien l'absence de données en haute lumière et un démarrage « en douceur », matérialisée par le vêtement de l'homme sur le pont. J'évalue donc la marge de triche sur le moment du jour, pardon de compensation à ¼ d'Il pour rendre l'image un chouïa plus agréable à la vision normalisée « japonaise eût-on dit à l'époque » qui prévaut actuellement, ceci sans perte de détails.
Certes est-ce là une vision très -trop ?- technique des choses et pourra-t-on tout aussi bien préférer une vue convertie mais il faudra néanmoins vous faire une raison, il s'agit en l'occurrence -souvent ?- du choix entre la fidélité et plaire avec le risque ici démontré de perte d'éléments.
Photographe refusant le gris ne penches-tu pas du mauvais côté...
Peut-on autrement considérer qu'un rendu propre à la marque reproduisant du mieux possible une scène sans nécessité d'ajustement soit contre-productive ? Certes donc et cette expérience nous le prouve, mais quoi qu'il en soit, il ne résulte pas d'une erreur technique mais d'une vision des choses que n'aurait pas renié Canaletto.
Coupables écrans...
Il est autrement assez difficile d'obtenir de nombre de ceux que l'on nomme moniteur un rendu correct, j'en ai ici un certain nombre, pardon un nombre certain à ma disposition de différentes origines, jusqu'à l'écran de contrôle du bon mètre et même quelques antiquités à tube cathodique -qui ne sont pas moins bons question finesse horizontale et douceur ou « fondu » du rendu, tiens, une autre rime- et aucun ne donne exactement le même résultat même en usant de sacro-saints « profils » adaptés à défaut de jouer aussi avec les ajustements matériels.
User d'un « calibrateur » magico-électronique me direz-vous, seulement voilà, rien ne garantit que ce dernier soit bien... calibré en toute choses et que les transducteurs soient capables du meilleur à défaut de nous démontrer qu'il ne s'agit que d'une exploitation commerciale du thème.
Merci M. Robert -encore un de grand savoir- pour avoir expliqué si simplement les finesses d'une prose ou rien n'est innocent.
Preuve à l'appui...
Mais si, vous savez, « y rester »... façon Saint Michel, pardon Audiard.
Che casi.., pardon bonjour tristesse dirait M. Richard en voyant l'envers du décor ainsi défraîchi, bon, pour ceux qui ne verraient pas pourquoi l'innocent mot casino n'est pas ici fini, qu'ils sachent que c'est pour le respect des Dames et facétie d'une belle langue latine.
Vénitien de tes bannières tu auras beau être fier...
De plus de ceux-ci venant de loin tu auras bientôt besoin pour sitôt renflouer le bateau...
Pour qu'au pèlerin tu puisses toujours bien démontrer que culture en ce lieu perdure...
Même à contre-jour, envers et contre tout en ce lieu où même l'azur est sculpture...
Bon, pour être encore taquin, n'oubliez jamais que Jean-Baptiste Poquelin dit Molière fut le plus damné farceur de son temps.
Facétieusement vôtre...