106 résultats trouvés
Revenir à la recherche avancée
Aller au message
Esprit Leica...
Je vous parle d'un temps ou le M était encore l'outil petit et léger donc passe-partout du photographe aux semelles usées, un temps ou l'utilisateur du premier Leicaflex était un déviant. Le lourd prisme ou la lumière s'égare, le mirroir et son bruit, c'était Nikon ou Pentax, pas Leica.
Très amusant, donc, ces jugements de valeurs aux relents d'€-fondamentalisme traditionnel.
Il faut dire que la patte nippone reste visible, l'inutile pub "mega OIS" toujours là, en plus discret que sur du Panasonic, présence de programmes style reportage baby boom, bref, un joyeux fourre-tout où il est facile de perdre l'utile dans le dédale du facultatif, mais qu'on ne s'y trompe pas, il doit être possible de tirer le meilleur de ce gros mini sans visioflex. Ergonomie correcte, surtout pour le pékin aux mains de pianiste, bagues sans jeu, réglages stables en période d'agitation, peu d'espaces susceptibles de devenir des bacs à sable, bref RAS de positivement rédhibitoire, bien que la résistance aux chocs n'ait pas encore été testée, faute de forte contrariété.
Ce concentré de technologie est probablement fiable si j'en juge par la similude de construction avec un dénommé FZ-20 ayant vaillemment résisté aux maltraitances sous la cagnat saharienne, j'ai par conséquent laissé lourds boitiers et objectifs interchangeables (pouce baissé pour la crasse et l'incompatibilité au palu qui ressort dans le feu de l'action) dans les tiroirs avant d'en gaver une vitrine. Mais je vous parle de lieux ou l'art, c'est de pouvoir faire la photo, de situations où par le passé, la profondeur de champ servait à ne pas avoir à se préoccuper de la map plus qu'à faire de la mise en valeur.
Il faut avoir de la fraîche à perdre pour balancer une demi-brique dans ce Boxter à seule fin d'immortaliser le tout-venant, mais tout comme son homologue Porsche, entre des mains expertes, on doit pouvoir se régaler sur DZ.
FZ-50, V-lux, quelle importance? le Panasonic aux grands bouzilleurs devant l'éternel et qui plus est désargentés, pour qui la garantie est toujours inapplicable, mais comme le disait un noble chibani devant une Mauresque, il est des circonstances ou l'homme le plus perplexe se trouve confronté à des viscissitudes des plus aléatoires.
Je vous parle d'un temps ou le M était encore l'outil petit et léger donc passe-partout du photographe aux semelles usées, un temps ou l'utilisateur du premier Leicaflex était un déviant. Le lourd prisme ou la lumière s'égare, le mirroir et son bruit, c'était Nikon ou Pentax, pas Leica.
Très amusant, donc, ces jugements de valeurs aux relents d'€-fondamentalisme traditionnel.
Il faut dire que la patte nippone reste visible, l'inutile pub "mega OIS" toujours là, en plus discret que sur du Panasonic, présence de programmes style reportage baby boom, bref, un joyeux fourre-tout où il est facile de perdre l'utile dans le dédale du facultatif, mais qu'on ne s'y trompe pas, il doit être possible de tirer le meilleur de ce gros mini sans visioflex. Ergonomie correcte, surtout pour le pékin aux mains de pianiste, bagues sans jeu, réglages stables en période d'agitation, peu d'espaces susceptibles de devenir des bacs à sable, bref RAS de positivement rédhibitoire, bien que la résistance aux chocs n'ait pas encore été testée, faute de forte contrariété.
Ce concentré de technologie est probablement fiable si j'en juge par la similude de construction avec un dénommé FZ-20 ayant vaillemment résisté aux maltraitances sous la cagnat saharienne, j'ai par conséquent laissé lourds boitiers et objectifs interchangeables (pouce baissé pour la crasse et l'incompatibilité au palu qui ressort dans le feu de l'action) dans les tiroirs avant d'en gaver une vitrine. Mais je vous parle de lieux ou l'art, c'est de pouvoir faire la photo, de situations où par le passé, la profondeur de champ servait à ne pas avoir à se préoccuper de la map plus qu'à faire de la mise en valeur.
Il faut avoir de la fraîche à perdre pour balancer une demi-brique dans ce Boxter à seule fin d'immortaliser le tout-venant, mais tout comme son homologue Porsche, entre des mains expertes, on doit pouvoir se régaler sur DZ.
FZ-50, V-lux, quelle importance? le Panasonic aux grands bouzilleurs devant l'éternel et qui plus est désargentés, pour qui la garantie est toujours inapplicable, mais comme le disait un noble chibani devant une Mauresque, il est des circonstances ou l'homme le plus perplexe se trouve confronté à des viscissitudes des plus aléatoires.