Tetenal NEOPRESS HC, révélo. pour photographe pressé (temps de développement very short, contraste good. Dans l'esprit du HC-110 de Kodak : même type de dilution, et sans doute une formule très proche.

3 références sur Paris :
Picto (Fondé par Pierre Gassmann - Tireur d'HCB),
La chambre noire (Guillaume Geneste - Tireur de Plossu),
l'Imaginoire (Jean Yves Brégand - Tireur de Jean Loup Sieff).

Le 902 est le plus confortable des éclairages inactiniques classiques. Le vert jaune est aussi apprécié (mais je ne crois pas que l'on trouve encore des filtres pour les lanternes ilford ou kodak).

Autrement, la Rolls du labo., ce sont les lampes à sodium : éclairage trés confortable et inactinisme parfait.

Mais pour visualiser correctement les valeurs d'un tirage, c'est day light only.

Typiquement la question qui devrait lancer un long et cordial débat.

8)

Le D76, c’est la référence autour de laquelle on juge tous les autres.

Valeur sûre pour résultats excellents : grain fin, contraste normalement restitué, sensibilité de base du film respectée (normal, vu que c’est autour de ce révélo. que les films sont pour la plupart calés – à commencer par Kodak bien entendu).

Utilisé à 1+1 on joue sur du velours, ou du satin, ou de la soie (au choix), une courbe de rêve (des densités…). Le révélo. à adopter pour débuter (et continuer).

Ensuite…

Les règles, une fois acquises, on aime bien s’en affranchir. Alors on fait des infidélités au D76 (malgré la courbe précitée) ; on écoute les uns et les autres qui tous détiennent la chimie miracle : Rodinal par ci, HC110 par là, Microphen pour pousser, Microdol X pour retenir et grain plus fin que fin, révélo. au pyro., etc.

Mais pour débuter, il me semble indispensable de maîtriser un couple révélo. film, et si la question du film n’est pas (encore) posée, pour le révélo. je répond D76 sans hésiter.

Pour le fix. tous ce valent. Prendre un fixateur liquide rapide Tétenal ou Ilford ou chosetruc et veiller à travailler avec une solution non épuisée.

Pour revenir sur les révélateurs, il faudrait prendre le temps de les présenter tous, par familles, avec courte indication des résultats obtenus : un article somme toute, mais pourquoi pas...

Le filtre inactinique vert foncé est utilisé pour le développement des films par inspection (technique utilisée surtout avec les plan-films). Ne convient pas pour les papiers n&b (sauf les papiers panchromatiques - kodak panalure par ex.).

Les papiers photo. à contraste variable sont des émulsions orthochromatiques dont la sensibilité ne couvre que le bleu et le vert (400 à 550 nm environ), les papiers gradés généralement ont une sensibilité spectrale réduite au bleu (400 à 450 nm environ). L’éclairage inactinique émet donc dans une zone où le papier est aveugle (jaune orangé à rouge, soit 650 à 700 nm en gros).

Les négatifs sont panchromatiques (sensibilité étendue sur tout le spectre visible), avec un léger creux de sensibilité dans le vert foncé (environ 550 nm), et aveugles à 590 nm (zone de l'éclairage au sodium).

Une jobo 2 spires en 35mm contient environ ½ litre d’eau.
12 renouvellements manuels (avec agitation) pour le lavage de deux films consomment 6 litres d’eau.

Les forcewash et autres conduites forcées, pour autant que l’on règle correctement le débit (la fine bande rouge sur le transparent du modèle jobo), tournent à 2 litres minute. Les 5 minutes réglementaires valent donc 10 litres a minima.

Mais plus essentiel , il faut se souvenir que le lavage consiste à éliminer les sels solubles résultant du bain de fixage absorbés par la gélatine. Leur élimination se fait par osmose (échange entre deux milieux, l’un pollué, l’autre non). Il ne s’agit donc pas de rincer l’émulsion. Le lavage des films par renouvellement manuel est de loin le plus efficace en petite unité de production.

Faut le bobiner soit même.

(Ou alors passer au moyen format.)

Les fabriquants font du 36 poses (tous) et du 24 poses (pas tous).

c'est 24 poses plutôt...

& encore du sel pour moudre le grain,

Yes avec Zekkar & Dido,

Bon reportage (boxe dur mon gars).

Mais boxe aussi les scans, bien que tout comme toi je préfère passer mes nuits sous l'agrandisseur que devant un scan (que d'ailleurs je n'ai pas).

8)

Un pack de Tri X (soit 10 x 36 poses = 360 raisons d'aimer le n&b).

Et puis du HC110 pour développer tout ça.

(Ô very big Yes Marielle, you speak d'or.)

Prenez comme base le double du temps habituel pour 25 iso.

Pour éviter les surprises (mauvaises) faites un test préalable comme l'indique zekkar plus haut (mieux vaut sacrifier 3 vues que la bobine).

C'est ben pour ça que je disais pas savoir moi,

Je fais le zouave avec brother iso c'est sûr,

Mais pour l'art faire petit petit because pas vouloir enfler du teston,

Parce que à 200 ou 1536 ou 6,45 iso, artiste c'est une autre paire...

8)

Artiste je pas savoir au fond (& peu importe pas vrai )

Ok Kodak et consorts déterminer sensibilité nominale de leurs émulsion avec un bastringue de tous les diables qui y pas de place dans mon labo mais,

choisir une sensibilité pratique et le temps de développement qui va avec c'est choisir où se placer sur la courbe h&d de la dite émulsion, que justement la courbe de la Tri X elle est plus que belle et qu'il y a place pour un logE pas croyable,

& vrai que la sensito c'est fait pour dévier mais en sachant toujours ce que l'on fait,

si Kodak l'a inventé la Tri X c'est pour qu'on jongle avec sans modération à tout iso et plus encore, mais à condition de savoir toujours vers où c'est y qu'on go.

(& recettes pour accomoder la TriX, les pages qu'on pourrait en faire...)

J'utilise la Tri X à 200 iso depuis fort longtemps. C'est ma pellicule de base à sa sensibilité de base. (La TXP 320 (Tri X moyen format et GF), en planfilm à 160 iso également.)

Les résultats sont excellents et constants. Il faut caler sa chaîne de traitement, quelque soit le révélo. utilisé, une bonne fois pour toute et ensuite, zen & photographie.
8)

Hello Juan,

Me gustan tus fotografías

(passants d’une ville
qui hâte ses rumeurs
où nous côtoyons les brumes
qu’aucun rêve ne parvient à être)

Strovoï & paix