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Kormo a écrit :
Le CPI est parfaitement clair : en droit français, la notion "libre de droits" n'existe pas.


Voila une affirmation passablement fausse car elle ne signifie rien. De même que la citation recopiée plus bas dans les posts.

La licence creative commons ne se préoccupe pas du droit moral dans la mesure ou l'auteur donne l'autorisation d'utiliser son oeuvre sous conditions. Je vous renvoie à la littérature sur le CC. Parmi les conditions, il y a la non utilisation commerciale, ou l'obligation que le document dans laquelle l'oeuvre est insérée soit à son tour disponible sans contrepartie commerciale.

Donc ne mélangeons pas le droit moral et les droits de représentation et de reproduction qui entre parfaitement dans le cadre des licences CC.
par Envol
mardi 7 juin 2016 - 16:37
 
Forum: Comment feriez-vous pour...?
Sujet: utiliser des images libres de droit
Réponses: 20
Vus: 5370

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Il y a une façon plus simple plus tester les obturateurs : un ordinateur portable équipé d'un micro et le logiciel gratuit audacity. La procédure est décrite maintes fois sur le net. Le résultat est assez similaire. Les obturateurs à rideaux classiques peinent dans les vitesses rapides, les obturateurs électroniques sont réguliers.
par Envol
dimanche 22 mai 2016 - 9:46
 
Forum: Leica M : boîtiers
Sujet: contôle des vitesses d'obturation
Réponses: 5
Vus: 1632

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citation :
Effectivement paterson a du vendre vingt fois + de cuve que JOBO, mais je pense que les cuves JOBO, essentiellement destinées au labo semi industriel (ou semi-pro), ont du développer un nombre bien + considérable de film que paterson.

Les films que je propose viennent de l'usine AGFA qui produit toujours les films de photo aérienne et les films micro-filmage et qui paradoxalement est en bien meilleure santé financière que kodak ou ilford. Il en est de même pour la marque TETENAL...

Tous les développements professionnels et industriels se font à agitation continue, NB, C-41 ou E-6 et autres...

Un rotocuve se trouve autour de 20 euro sur Ebay, dans les petites annonces des forums voire en brocante, assez facilement...

Et oui je suis vieux, et visiblement, à la différence de vous, j'ai eu l'occasion de tester et comparer différentes façons de faire...

"Lorsqu'on apprend à conduire, on se fait la main sur une petite voiture facile à conduire"
une bien belle connerie que voilà, mon cousin est mort victime d'un accident de la route, dommage, le prix des fleurs sur son cercueil aurait payé la grosse berline allemande ou suédoise qui lui aurait sauvé la vie...
C'est justement quand tu commences que tu as besoin d'aide et d'assistance...

J.Ph.


J'ai bien l'impression que vous n'avez jamais mis les pieds dans un labo pro ou industriel.
Je ne sais pas si l'en existe encore, mais pour les avoir fréquenté pendant quelques années, vous n'y trouveriez ni cuve Jobo ni cuve Paterson. Mais des cuves de 15 litres avec les films enroulés sur des tringles et une agitation à l'azote, donc pas d'agitation continue. Je précise encore que le développement se faisait par inspection.
Mais c'est une autre époque.
Quant à la bonne santé financière de l'usine AGFA et la qualité des produits qui en sortent, je vous laisse à vos croyances.
Payez aujourd'hui plus cher des films de qualité médiocre c'est devenu ultra chic. Laissons Kodak et Ilford aux plébéiens, que diable, si on a 50 ans et qu'on a pas une Rollei, on a raté sa vie.
Quant à votre age, rassurez-vous, je suis plus agé que vous. Et l'age m'a appris la simplicité. Et la simplicité commande d'utiliser des recettes éprouvées avant de se lancer dans l'expérimentation.
par Envol
jeudi 7 avril 2016 - 15:45
 
Forum: Labo argentique
Sujet: Découverte de l argentique
Réponses: 25
Vus: 8016

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citation :
Je ne dis pas que je détiens la vérité vraie et l'ultime savoir, mais après + de 35 ans de photo argentique et NB, je partage mes échecs du début qui sont majoritairement dus au fait que j'ai écouté les vieux, qui n'y connaissaient finalement pas grand chose, qui me disaient "ilford+paterson"


Le problème c'est qu'aujourd'hui vous êtes un vieux qui donne de mauvais conseils aux débutants.

Je ne sais pas combien Paterson a vendu de cuves mais si elles fuient tant que ça, il y a belle lurette que cette marque aurait disparu.
Quant à conseiller d'utiliser films exotiques de provenance douteuse et révélateurs incapables de donner des résultats constants, c'est la meilleure façon de dégouter un débutant.

Relisez la réponse de summilord c'est la seule qui répond à la demande.
par Envol
jeudi 7 avril 2016 - 10:42
 
Forum: Labo argentique
Sujet: Découverte de l argentique
Réponses: 25
Vus: 8016

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VivienMTL a écrit :
Alors oui j'ai pu lire que le D-76 n'étais pas le meilleur pour ce type de pellicule ou la pousser mais bon je vais commencer par cela et puis apprendre de mes erreurs. (à moins que vous me le déconseillez fortement !)

Développement D- 76 1+0 ou 1+1

Si je comprends bien le 1+1 correspond pour un tank de 600ml à 300ml de D-76 + 300ml d'eau à température de 20 degrés ( ou autre selon pellicule utilisée etc..)
Quelle serait la différence avec la solution stock pure ? ou développement à bain perdu si je ne me trompe ?

4. Intérêt de la méthode de Jules

Est-ce que il s'agit uniquement de garder une constance dans le développement avec les solutions A+B ou cela joue sur autre chose ?

5. Agitation

Je sais que chacun à sa propre recette et qu'il faut trouver la sienne mais j'ai pu lire qu'il fallait être assez franc dans l'agitation et ne pas avoir peur ? Si vous avez des conseils je suis preneur.


Merci beaucoup de votre aide !

Bonne journée !


Pour répondre simplement, le D76 est un excellent révélateur qui convient bien à l'HP5.
Si vous développer 1 à 2 films maximum par semaine, je vous conseille d'utiliser le D76 stock à bain perdu. Pas de dilution, pas de réutilisation. Pas d'oxydation non plus. Avec 3,8l de solution, vous pouvez développer 13 films. Au prix du D76, ce n'est pas très cher. Avec cette méthode, il est difficile d'être plus constant d'un film à l'autre.
Le seul intérêt pour moi de la méthode à Jules c'est de rappeler que l'agitation a une influence sur le contraste des négatifs.
Personnellement, j'agite 30sec au départ puis 10sec toutes les 3 minutes. Mon temps de développement est rallongé de 50% par rapport au temps préconisé par Ilford.
Avec le D76 stock, j'ai un grain très fin aussi bien sur l'HP5 que sur la FP4 avec des hautes lumières très facile à tirer.
par Envol
mardi 5 avril 2016 - 10:32
 
Forum: Labo argentique
Sujet: Mes premiers développement de négatifs
Réponses: 21
Vus: 7097

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Il faudrait lui demander. N'étant ni chimiste ni enseignant à l'ENS, je ne saurai vous l'expliquer. Mais une recherche sur le forum galerie-photo devrait vous apprter la réponse, sinon contactez-le par l'intermédiaire de ce forum.
Si ma mémoire est bonne, son argumentaire était lié aux respects des normes d'archivage dans le cas d'un processus tout alcalin. A vérifier !
par Envol
dimanche 13 mars 2016 - 9:23
 
Forum: Labo argentique
Sujet: fixateur "alcalin" ?
Réponses: 18
Vus: 10351

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J'ai commercé pendant quelques années avec Dirk Rösler. Je lui acheté des plans films et des objectifs pour 4x5. A l'époque, il habitait au Japon, je ne sais s'il y demeure encore aujourd'hui mais ces contacts sont très sérieux. Je n'ai eu que de bonnes surprises dans ces relations commerciales.
Le matériel que je lui ai acheté était d'occasion mais quasi neuf.
Pour ce qui est d'un retour SAV pour du matériel acheté au Japon, personnellement, j'oublierai !
Lorsque vous achetez du matériel au Japon, vous payez des frais de douane. Mais cela ne suffit pas. Il faut ensuite obtenir de la douane une carte de libre circulation pour le matériel acquis. Cela vous permet de sortir le matériel de France et de la ramener sans problème. Mais cela implique que vous voyagez avec votre matériel. Quand vous l'envoyez par l'intermédiaire d'un transporteur, vous avez de fortes chances d'être taxé au retour du matériel réparé, aux mêmes taux que ceux appliqués pour l'achat du matériel. Vous pouvez demander à être remboursé, mais c'est le parcours du combattant.
par Envol
dimanche 13 mars 2016 - 9:01
 
Forum: Compatibles
Sujet: MS Optical / MS Optics
Réponses: 358
Vus: 123379

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Dans le cas d'un fixateur alcalin, l'auxiliaire de lavage ne sert à rien.
Un auxiliaire de lavage est généralement un composé basique (ou alcalin, comme on veut) qui va rééquilibrer le pH de la gélatine après le passage dans un fixateur acide pour permettre une meilleure efficacité du lavage dans un mileu au pH neutre (l'eau).
Il y a de nombreuses études autour des processus de développement en milieu alcalin. Pour synthétiser, si on n'utilise pas un révélateur de type PMK, ABC pyro ou rollo Pyro, ce type de processus n'apporte rien au développement des films.
Pire, pour les tirages papier, un processus tout alcalin est déconseillé (source JP Gandolfo, enseignant à l'ENS Louis Lumière).
par Envol
samedi 12 mars 2016 - 12:40
 
Forum: Labo argentique
Sujet: fixateur "alcalin" ?
Réponses: 18
Vus: 10351

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Si je me souviens bien, Giacomelli fut ouvrier typographe avant de devenir imprimeur. Son style est très inspiré par son métier d'origine ou le noir et le blanc sont omniprésent.
par Envol
mercredi 24 février 2016 - 13:48
 
Forum: Livres, sites, expositions et événements
Sujet: Mario Giacomelli à Sens (89)
Réponses: 9
Vus: 2099

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La question (début du post) mérite d'être posé. Vous avez déjà pas mal de réponses.
Je vais ajouter ma goutte d'eau.
Face à un sujet, qu'est ce que je raconte ? Qu'est ce qui se déroule dans le cliché. Que ce soit une photo de rue, un portait, un paysage, toute photo est une histoire. Même chez les plasticien qui évacue la narration, une photo se lit.
par Envol
mardi 23 février 2016 - 18:21
 
Forum: Conseils et critiques
Sujet: Banana moon
Réponses: 10
Vus: 3099

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Je ne connais rien aux batteries Leica, n'ayant pas de numériques. Par contre je peux témoigner sur d'autres batteries professionnelles. Ce qui fait la différence entre les batteries low cost et les autres, c'est l'électronique qui gère la charge, la décharge, la veille, etc., controlée par des puces électroniques protégees par des brevets. Ces puces dialoguent en continue avec le boitier pour optimiser la consommation électrique. Le développement de telles puces a un coût élevé. Je doute qu'une batterie à 16€ soit aussi performante d'un point de vue électronique qu'une batterie 6 fois plus chère.
par Envol
samedi 13 février 2016 - 9:47
 
Forum: Leica M : divers
Sujet: Problème batterie Subutel...
Réponses: 9
Vus: 7665

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Le papier RC est moins difficile à traiter que le papier baryté mais il y a 2 choses qu'il n'aime pas c'est le surfixage et le surlavage.
Il ne sert à rien de surfixer un papier (RC ou Baryté). La meilleure séquence c'est en 2 bains, 1 minute à chaque fois. Pour le lavage, c'est 2 minutes avant le virage et 3 minutes après.
Le sistan est un bon produit mais difficile à trouver aujourd'hui.
Un virage au sélénium (2 minutes à 1+9) protège efficacement le tirage en renforcant un peu les noirs.
par Envol
mercredi 16 décembre 2015 - 12:04
 
Forum: Labo argentique
Sujet: Conservation et longévité des négatifs, diapos et tirages N&B et couleur
Réponses: 13
Vus: 3363

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Beaucoup de choses ont été écrites à propos de la conservation du matériel photographique, c'est un marronnier des forums photos.
Je ne peux témoigner que sur mes propres archives dont certaines dates de la fin des années 60 :
Les kodachromes se sont bien conservées.
Les ektas développées par un labo pro sont toujours acceptables. Celles que j'ai développées moi-même sont de moins bonne tenue.
Le tirages couleur d'après diapos fait par Picto (années 70) ou Central Color (années 80) et conservés dans des boites de papier photo sont toujours de très bonnes qualité.
Les tirages couleur d'après négatif fait par des labos pros et conservés dans des boites se sont bien dégradés. Idem pour les tirages couleur d'apres négatifs ou dias qui ont été exposés longtemps à la lumière du jour.
Les négatifs N&B se sont bien conservés de même que les tirages RC. Certains datent de 1972 et n'ont pas bougé. C'est moins bon pour les tirages barytés mais c'est en partie de ma faute. Je n'ai jamais aimé ce type de papier. Au contraire, j'ai toujours apprécié le RC et j'ai eu la chance d'apprendre très tôt les procédures pour obtenir un bon tirage RC, procédure incluant un virage au sélénium. C'est peut-être la raison pour laquelle des tirages RC de plus de 40 ans ont encore une belle tenue.
Cela dit, en les comaprant avec des tirages récents des mêmes négatifs, je me suis rendu compte que je ne tire plus du tout de la même façon.
Mais ça, c'est une autre question !
par Envol
vendredi 11 décembre 2015 - 15:38
 
Forum: Labo argentique
Sujet: Conservation et longévité des négatifs, diapos et tirages N&B et couleur
Réponses: 13
Vus: 3363

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Dans ce genre de propositions, il manque toujours un certain nombre d'informations : quel film, quelle sensibilité, quelle durée de développement, quelle utilisation (scan ou tirage), si tirage, quel type d'agrandisseur (lumière diffuse ou condenseur), etc..
Ce qu'il y a de bien avec un film négatif N&B, c'est qu'il peut se développer avec de nombreux révélateurs, qu'ils soient classiques ou originaux (café, vins, urine, thé, etc..) et que cela permet de s'amuser.
Mais de là à faire d'un traitement particulier une méthode universelle, je ne le conseillerai pas à un photographe qui débute l'argentique.
par Envol
samedi 7 novembre 2015 - 11:37
 
Forum: Labo argentique
Sujet: Quantité minimale critique de révélateur film dans une cuve.
Réponses: 24
Vus: 8194

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D'où l'intérêt de lire les feuillets techniques jusqu'au bout.

Bon, ce qui n'est pas indiqué, et qu'avez précisé en son temps Sylvia Zawadzki (l'inventeure de l'Xtol) c'est que ces durées de développement correspondent à un tirage sur agrandisseur à lumière diffuse. Je crois, mais je n'en suis pas sûr, que c'est mentionné dans l'un des feuillets techniques de l'Xtol.

Ce qui me semble important dans le fait de respecter les indications fournies par les feuillets techniques, c'est, outre l'aspect pédagogique, la nécessité de bien analyser et appliquer la mesure de la lumière.

En suivant les indications, j'ai fait l'expérience du fait que quand M. Kodak (ou M. Ilford, c'est pareil) mentionne 400iso sur la boîte d'un film, ça ne sert à rien de l'exposer à 200 iso quand on doit tirer sur un agrandisseir à lumière diffuse.
par Envol
mercredi 23 septembre 2015 - 15:07
 
Forum: Labo argentique
Sujet: Quantité minimale critique de révélateur film dans une cuve.
Réponses: 24
Vus: 8194
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